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Comme si la dépénalisation du cannabis allait stopper les autres trafics de drogues. Et notamment le crack, la vraie plaie de tous les quartiers touchés par les bandes.
D'autre part, dans les quartiers pauvres où les clients cherchent à acheter le moins cher possible, il y aura toujours de la contrebande.Et vous pouvez être sûr qu'à ces emplacements, d'autres trafics vont également s'installer.
Si les élus et les riverains ne veulent plus voir ces trafics, il faut qu'il y ait également une dépénalisation des autres drogues. Ce qui est bien-sûr, à ce jour impensable. Compte-tenu, qu'elles sont beaucoup plus dangereuses que les cigarettes et le cannabis. Reste à entamer le débat tout de même, comme le suggère Nicolas Hulot.
Il est donc clair que cette proposition de légaliser le cannabis est absurde. Et semble plutôt être une marque d'un nouveau laxisme pour faire la paix sociale avec une certaine catégorie de personnes. Tout en trompant l'opinion, compte-tenu que la crack ne sera pas dépénalisé.
Il faut donc surtout mieux combattre tous les trafics. Et même commencer sérieusement à mieux encadrer le marché de l'occasion, qui est devenu une véritable anarchie. Tout le monde peut en effet vendre n'importe quoi. Même et surtout, ce qui a été volés. C'est intolérable.
Il faut certainement arriver à pouvoir autoriser la vente des biens d'occasions, uniquement s'ils ont un numéro d'immatriculation. Le reste ne doit pas être vendu. Imaginer qu'il y a des boutiques de vêtements d'occasion qui se sont développés à Paris depuis une quinzaine d'années, n'est pas acceptable. D'autant plus qu'on retrouve certaines de ces boutiques, sur des listes d'adresses touristiques. Les gens doivent apprendre à mieux acheter. Et à être propres. Ce genre d'aberrations ridiculise les français. Et alimentent les réseaux criminels.
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